Une approche diététique globale qui met à l'honneur le Féminin
Depuis 50 ans, le modèle PATRIARCAL vante les mérites de l'EFFORT, de la VOLONTÉ pour transformer notre alimentation.
Depuis 22 ans, la politique institutionnelle fait le choix de l'interventionnisme avec la mise en place des PNNS (Plan National Nutrition Santé).
Le premier avait pour objectif de réduire de 20% l'obésité alors de 8,5%.
Nous en sommes au 4e. L'obésité a bondi de 100% en 22 ans.
Nous voulons manger sain, mieux.
Nous avons peur de manger mal, de manger du sucre en excès. De tomber malade.
NOUS MANGEONS AVEC NOTRE TÊTE, GUIDÉS PAR DES PENSÉES INQUIÉTANTES.
MANGER EST UNE CHARGE MENTALE.
Les mangeurs issus des catégories sociales les plus aisées sont devenus des experts en nutrition.
Leurs enfants sont éduqués dans la crainte de grossir.
Le résultat? Certains se mangent en cachette, se gavent de bonbons lors des anniversaires de copains.
Les populations moins favorisées n'ont pas le luxe de l'expertise. Ils se contentent d'aliments à faible densité nutritionnelle disposés en tête de gondole.
La course au Bien Manger fragmente la société.
L'alimentation est un marqueur social de longue date. Elle l'est aujourd'hui doublement.
Les experts décrient l'alimentation industrielle, pointant du doigt les industriels coupables de tous les maux.
Quid de la responsabilité de l'état? Quid de l'impact des écrans sur la régulation alimentation, la conscience du corps?
Un silence assourdissant règne.
Alors quoi, on continue de faire comme avant? À donner des injonctions, blâmer ceux qui ne respectent pas les règles, nourrir la CULPABILITÉ abyssale des mangeurs ?
L'Alimentation en Pleine Conscience est une voie de PAIX, de non-dualité.
Elle est accessible à tous, pour peu que chacun s'engage à créer un espace intérieur de sécurité. Cela s'apprend.
L'objectif : devenir RESPONS' ABLE, capable de choix plus joyeux, plus justes pour la santé de tous.
Sans quête de perfection, avec une conscience plus joyeuse, plus fine.
L'acte alimentaire est complexe.
Nos choix sont conditionnés par le cadre de notre éducation, de notre culture, de nos mémoires cellulaires, de nos blessures, de nos traumas, de notre transgénérationnel.Tout ce que le discours institutionnel oublie.
Les mettre en lumière prend à la racine nos choix dysfonctionnels pour les transformer.
Identifier
-les mémoires du corps, de notre lignée,
-nos besoins (énergétiques, nutritionnels, émotionnels) et apprendre à les honorer.
Sans juger, en désamorçant la culpabilité, la honte.
Se nourrir ne passe pas uniquement par des calories.
Trouver du sens à ce que nous faisons, agir en accord avec nos valeurs est NOURRISSANT.
Cette prise de conscience passe par le corps, le SENTIR.
Le FÉMININ y est central.
Par FÉMININ j'entends cette qualité de présence réceptive, réceptable de tout ce qui nous traverse. Sensations, pensées, blocages, absence de sensations, émotions, absence d'émotions....
Le corps est la boussole qui guide vers le retour à soi
Ma légitimité pour vous accompagner sur ce chemin
Depuis 10 ans, je me forme, j'expérimente, je teste, challenge la THÉORIE AU FEU DE L'EXPÉRIENCE.
La CONSCIENCE DU CORPS et DU SENTIR est au CŒUR de mon quotidien : formellement par la danse intuitive, le Yoga, la méditation, la marche en conscience, informellement dans mes activités quotidiennes.
Il y a 3 ans, lors de ma rencontre avec la mémoire cellulaire, j'ai compris pourquoi ce sujet m'était si cher : il me relie à ma grand-mère maternelle. Elle a occupé une place particulière dans ma vie. Elle a souffert toute sa vie de son corps, de son poids qui n'était pas dans les normes de minceur.
Ma mission est de partager mes découvertes avec le plus grand nombre de Femmes.
Avec Amour.
Alexandra